• Chapitre2

    La beauté du salon lui coupa le souffle, les rideau beige de la pièce qui contrastaient avec les murs bordeau étaient fermés, afin de rendre la lumière des décoration de l'immense sapin beaucoup plus intense, des guirlandes lumineuse parcouraient les immense branches verte épineuse, slalomant parmit les diverses boules la plupart rouges, une couronne de gui encadrait  la cheminée de pierre grise, où, crépitait un grand feu chaleureux, à côté, un petit coin siège à été organisé, avec des fauteuils style IV°, rouge au motif vert et jaune, au centre une petite table basse où était disposé un plat d'argent couvert de bonshommes en pain d'épices, au glaçage appétissant de diverse couleurs. Une immense masse se dirigea vers Saya, qui recula, ne sachant pas ce que c'était à cause de l'obscurité qui couvrait cette partie de la pièce. Lorsque la bête atteint la zone lumineuse, la rouquine se fendit d'un large sourire, sa mère, elle accentua sa moue de dégoût et partie vers les antiquitée d'une démarche nonchalante, le gros St-bernard s'approcha de l'enfant qui fut attendrie par l'animal. Alors que tout le monde avait rejoint les siège sa grand-mère lui chuchota à l'oreille, une lueur bienveillante dans les yeux:

    "Tu lui as énormément manqué.

    Alors que Saya allais demandée comment pouvait-elle en être certaine, la vieille femme continua, cette fois un étrange sentiment dans son regard, qu'elle n'avait jamais vue chez elle, ni chez personnes d'autres et qu'elle ne connaissait pas du tout:

    -Ne me demande pas comment je le sais c'est tout, et une vieille femme comme moi à aussi droit à son jardin secret.

    La benjamine ne pouvait pas le nier, elle-même elle en avait un, mais elle avait toujours partagée ses clés avec sa grand-mère, elle savait qu'elle pouvait pas en tenir rigueur de ses cachoteries, elle n'avait pas son mot à dire la dessus. Saya se pencha et gratta la tête du chien qui tira sa langue rose:

    -Alors comme ça, je t'ai manquer Pupuce. Mais oui, mais oui je t'ai manqué mon loulou!

    D'une voix sèche et froide, sa mère la réprimanda:

    -Saya! Cesse tes gamineries! Va te laver les mains et rejoint nous!

    La rouquine se releva, sous le gémissement de déception du chien qui s'allongea posant sa tête sur ses larges pattes poilue. Ce dernier, semblait lancer un regard assassin à la femme, Saya traversa la pièce d'un pas rapide, pénétrant dans un sombre couloir. L'obscurité y était presque total, elle s'arrêtat sur le pas de la porte hésitante, elle avait oublier à quel point cet endroit était sombre la nuit, elle se maudit de ne pas avoir prit une lampe torche mais la voix rèche de sa mère la tira de ses pensée:

    -Dépêche toi! Ne me dit pas que tu as peur de ce couloir?!"

    Saya tressaillit et secoua la tête faisant voler ses cheveux roux, elle entra dans le couloir, la dernière fois qu'elle à tenu la tête à sa mère elle n'avait pas mangée pendant deux jours et avait dormi dans la cave recevant 10 gifles matin et soir, et quand sa mère giflait elle giflait. L'enfant ne voyait pas plus loin de trois pas, elle caressait les murs de sa main, ne sachant pas où était la salle de bain elle y était obligée. Enfin, les contour d'une poignée glacial se glissa sous ses doigts, un frisson la parcourue, elle hésitait à l'actionné.  Que pouvait cacher cette porte? Allait-elle le regretter? Elle secoua la tête pour chasser les scénario catastrophe de son esprit, elle avait beaucoup d'imagination mais l'idée que ses grands-parents secrètent quelqu'un dans ce qui est censée être une salle d'eau était stupide, ridicule et incongrue. Elle finit par rentrée, et d'une main timide chercha un interrupteur, elle appuya dessus, retenant son souffle, révélant une pièce carreler de mosaïque bleu mer, un lavabo blanc avec juste au-dessus une simple glace, à gauche une baignoire encadré d'un rideau de douche blanc. Elle se détendit, et entra dans la salle de bain, se rinça ses mains blanches à eau froide, ce qui les rendit rouge, elle les essuya et alors qu'elle allait quittée la pièce rejoindre les délicieux pain d'épice un étrange bruit l'en dissuada, comme si on chuchotait, Saya fronça les sourcils et balaya la salle d'un regard qui se veut suspect. Comme le phénomène ne se reproduis pas elle se retourna et là...une voix hypnotique, sifflante et menaçante  se fit entendre:

    "Viens, viens...viens me rejoindre, rejoins moi, rejoins ta destinée...Viens!

    Saya recula précipitement, les yeux écarquillés, elle se cogna dans un coin, appeurée, ses mains tremblante cherchaient une issue, la lumière clignotait et semblait folle pendant que la voix se faisait de plus en plus forte, la voix semblait aspirée l'oxygène dans la pièce, car l'air devenait manquant terriblement manquant, elle luttait pour respirer ...

    Voila le Chapitre2! J'espère qu'il vous aura plu n'hésitez pas à commenter^^


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  • Chapitre 1

    Le soir aux nuances safran dansaient dans le ciel, constrastant avec les flocons immaculés, qui planaient avant de retomber sur le ruban glacé et scintillant qui couvrait la ville de Chambéry. Dans une petite maison encadrée d'un jardin aux herbes folles et aux fleurs endormies, flanquée de deux grands immeubles fade et gris. Une voiture noir se gara devant l'étrange propriété, une famille en descendue vêtue de: noir, blanc ou encore gris. Les bras jais du père de familles chargés de paquets du même tons, la mère, le frère et la sœur se dirigèrent de manière solennel vers la maison, seule la benjamine semblait pressée, cela n'échappa à sa mère qui la réprimanda, les sourcils froncés:

    "Saya!"

    Le regard froid de sa maman éteignit la lueur excitée de son regard, mais ne dégonfla pas son cœur qui semblait flotter dans sa cage thoracique. Cela faisait tellement longtemps qu'elle avait pas vue ses grands-parents paternels, ils lui avaient terriblement manqué, sans eux, tout était...moche. Rien qu'à la présence de l'un d'eux, la chose la plus détestable s'illuminait. La petite famille franchit le perron, sa mère toqua sur la porte de bois incrustée dans les briques rouges. Saya grimaça, même ça elle n'aimait pas, cette manière de frapper trois petits coups sec et saccadé avant, de laisser sa main glisser le long de sa cape blanche en épais cachemire, qu'elle revêtait dans les grandes occasions. Décidément, rien ne lui plaisait chez sa mère, Saya se sentit un peu coupable, c'était quand même sa maman, qui la logeait et la nourrissait! Mais de toute façon, elle était pas la seul à être détestée de la rouquine, cette dernière haïssait la société de 3016, le monde semblait lobotomisé et robotisé, chaque mouvements de son entourage et pas seulement d'eux, semblait calculés, ce qui, effrayait l'enfant. Lorsque le bruit du verrou la tira de ses pensée, elle dut réprimer un cri de joie et ses larmes, son cœur semblait explosée dans une pluie de bonheur qui la submergeait, à la vue de la silhouette un peu rondouillette, au carré ondulé et argenté de sa grand-mère. Saya voulait sautée dans ses bras réconfortants, sentir le tissue de soie rouge vif de sa robe lui caresser le dos, ainsi, que ses superbe prunelles émeraude, où, se lisaient bienveillance, amour et tendresse. Sentiment qu'elle trouverait jamais dans les yeux glace de sa mère. Oui, elle voulait juste restée dans ses bras, combien de temps n'avait-elle pas eu de calin? Depuis son anniversaire, où, sa mère avait faillit s'étouffer  avec son gâteau. Car, oui en 3016 l'accolade était devenue très privée, on ne faisait pas sa en public. Saya avait entendue dire que avant ce n'était pas interdit, c'était même courants. Cela l'avait choquée, mais depuis, elle rêvait de retourner dans le passé, la vie devait y être génial! On pouvait choisir ses vêtements, rigoler en pleine rue sans être mal vue, et, surtout choisir un métier qu'on aime, parce que en 3016, les humains pouvait soit être scientifique, et, trouver divers vaccins pour avoir des chance de vivre bien plus longtemps ou être dans le business. Saya n'en savait pas trop sur se domaine, elle savait juste qu'il comptait mais quoi? elle ne savait pas, vue qu'elle avait choisis scientifique. Comme sa mère, son père et son frère avait opté pour l'autre catégorie, les autres métiers c'était les robots qui s'en chargeait. La douce voix chantante de sa grand-mère, fit sortir Saya de sa mélancolie:

    "Joyeux noël! Je vous en prie entrez! Jack s'il te plaît, va aider ton fils à chercher les valises, vous avez faits bon voyage?

    Alors que la rouquine allait répondre, elle se pinça la lèvre se rappelant, que les enfants n'avait pas leur mots à dire dans les conversations d'adultes. Après une œillade noir de sa mère, elle répondit avec cette accents hautain, du monde mondain des parisiens:

    -Fort bien.

    Elle enleva sa cape immaculée, la tendant à sa belle-mère qui la saisit, révélant une robe toujours aussi blanche à col claudine légèrement moulante, elle se dirigea vers le salon, faisant claquer ses talons 15 cm de la même teinte sur le parquet. Saya trouvait sa mère très belle, silhouette élancée, cheveux noir au carré rectiligne et yeux glace en amande elle avait tout pour elle. Mais elle, elle était née comme ça, pas la rouquine, et en aucun cas elle voudrait lui ressemblée, car sa mère, c'était pas elle. une main affectueuse, se posa sur sur son épaule, elle sursauta et s'aperçue qu'il s'agissait juste de sa grand-mère et demanda:

    -Peux-tu me passer ton manteau?

    Saya enleva son manteau gris, quand elle se retrouva enfin dans sa robe noir et perle, elle emboita le pas à son frère qui pénétrait dans le salon en costume corbeau, comme son père, qui semblait jumeaux seulement l'un avait 17 ans l'autre 48 ans. Une odeur de pain d'épice , et de sapin frais flottait dans l'air, la nostalgie la submergea, et une envie folle de se précipiter sous l'arbre pour ouvrir tous les paquets à son nom l'envahit. Elle ne l'avait jamais fait, et trouvait cette  idée un peu folle, et plus que gamine, elle fini par emboiter le pas à son frère.

    Voilà le chapitre 1 n'hésithez pas à commenter^^


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  • Résumé

    Voici Saya , 8 ans, vit en l'an 3016. Là, une 6° république est née : discrétion, responsabilité, pudeur et perfection. Mais l'enfant est tout sauf d'accord avec ces règles, à l'école on leur apprend tout sur ordinateur et on les inities quasiment qu'à la science, afin d'inventer de nouveau vaccins pour vivre plus longtemps. Mais cette enseignement l'agace, ainsi que toutes la société. malgré ses 8 ans, elle se bat de toutes ses forces pour la différence, bien qu'il n'y en ai plus, refusant de teintée ses cheveux roux en noir et faire un carré bien rectiligne, elle fait subire la honte de ses parents, mais la fiertée de ses grands-parents qui se sont pas laissée entraîner dans cette société. Alors que son destin pouvais pas tomber plus bas, un livre changera l'avenir tout entier de sa vie monotone, un livre qui lui fera vivre l'aventure de sa vie.

    "Une phrase et,ta vie sera encore plus folle que tes rêves, ou que tes cauchemars."


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